1. |
PYRAMIDES
04:07
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Entends tu, Ce Refrain ? Impression Déjà vu
Train fantôme Plus personne Ne l’attend
On se donne
Et on brule On monte Ici bas
Comme ça ...
Entends tu C’est tout prêt ? Impression Déjà vu
Encore un regard qui Qui me dévisage 4eme dimension
Au travers des âges Mais quel âge as tu toi Pour me dévisager ?
Comme ça...
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2. |
BAD BOY
04:59
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La nuit tombe sur ta chevelure D’or que cache
Un bandana bleu
Constellé d’étoiles du nord
Tes bras souples, sculptés, s’allongent
Tes battements de cils
Déclenchent l’amour
Des filles pour qui tu sembles
Un songe de Bronze à l’huile de Monoï
Tu es un bad boy
A l’huile de Monoï
Un romantique
Mais voilà qu’une jolie brune Arrive
Dans ta direction
Elle porte un perfecto d’homme de dur, de sbire,
Son regard glacé t’attise Tu le sens t’obscurcir,
Sous les regards, Silhouettes hâtives, Elle le mène à son côté
Lui, de son feu Elle, d’acier Rougit,
Se Meurt, S’active,
Tu es un bad boy
A l’huile de Monoï
Un romantique
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3. |
DIVA
04:53
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DIVA
Quoi?
Pas top dans ma peau regarde les avions le soir
Pourquoi ça me colle à la peau tourne tout autour de moi
Mais quoi?
Je suis comme Shiva
Incarnation 100 fois coiffé Mascara
Qui c’est emparé de moi
Lorsque tu bifurquais seul
La rue entrouverte et froide
Sors, sors de la
Blanc papier peint
j’suis serein
tu es seul, pas dérangé
et les murs te regardes danser
Mouvements lent précis travaillé la joie elle ne veut plus me lâcher grand cafard noir accroché
Mais quoi?
Je suis comme Shiva
incarnation 100 fois coiffé Mascara
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4. |
RETROVISEUR
02:47
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5. |
DOUX COMME REX
04:26
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6. |
CARLOTA
05:00
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CARLOTTA
Je reprends la nuit
Je la poursuis
je la laisse fuir!
Partir loin
A jamais revenir
Tout supprimer tout mettre au feu
Car tout est trop tard,
Carlota
Et au soir je tombe
Je côtoie les ombres
Auprès au fond aux vents
Des voiles
Carlota
Car je vous vois mieux dans la nuit
Brule la lampe du mineur
Qui descend sur vous
Et brille sous les eaux
L’alcôve s’illumine
Marine magie je t’imagine au fond
Léviathan du tréfonds
et ma douleur de tout
Tout autour de moi
Carlota
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7. |
ECCE HOMO
05:13
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Ecce Homo
Aucun souvenir clair
Ne brille autour de toi
Se perd dans l’ether
Des je ne sais pas quoi Des groupes d’enfants Aux visages masqués Chantent en chœur
Des liturgies inexpliquées
Ecce Homo
Ma perception s’éclaire Je ne sais pas
Très bien qui je suis
Ni ou vais je
La montagne noire
Quelque chose pousse Une excroissance Sous notre soleil
Une excroissance
Ecce Homo
Ces visions qui m’éclairent Je ne sais pas pourquoi
La prochaine nuit solaire ? Mais qui a dit quoi ?
Ecce Homo
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8. |
DOLCE VITA
02:55
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Je me rappelle de cette ile
Dans laquelle nous projetions nos idées
Loin du bordel des villes
Nous vivions bien planqué
La vie paraissait tranquille
A tes cotés je sentais le plaisir monter
Les souvenirs sont fragiles
Ton souvenir difficile
Les souvenirs sont fragiles
La Dolce Vita
Je me suis couché à tes cotés
Dans un rêve éveillé
A mon réveil tu n’étais plus là
Ton portrait accroché décroché, rangé
Plane la haut
Les pensées dispersées reviennent
Et temps s’arrête
pour reprend sa course folle
Nos vies sont ainsi faites,
Plus que de raison
Comme dans un feuilleton
Qui dépasse la raison
La Dolce Vita
Qui dépasse la raison
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9. |
COBRA I
04:10
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Cobra
Par une night, au bord de l’eau
J’aperçus de ton corps les sursauts
Le dj sur la plage, audio,
Agitait ton doux dos d’écailles
Quand tu souriais
Sous d’ondulants palmiers
Il me semblait que tu mordais Ma chair par un baiser vénéneux
Où que tu sois,
Je danserai avec toi
Qui que tu sois
Vipère ou Cobra
Maintenant que la nuit à sommeil
Que les néons ce sont couchés
Seul je pense à tes yeux néant acidulés
Je prends ma moto
Je dérape à fond dans les virages
Des kilomètres
Pour te trouver
Où que tu sois,
Qui que tu sois
Vipère ou Cobra
Je prends ma moto,
Je dérape à fond dans les virages
Des kilomètres
Pour te trouver
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10. |
COBRA II
05:41
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Seul je pense à tes yeux
Que la nuit a sommeil !
Seul je pense, à te retrouver
La piste s’ouvre et grondent
Les essieux,
Une raie glauque, indigo
Graisse les cieux.
Quelques madrigaux,
Gris baigneurs en juste-au-corps, familles lève-tôt,
Traînant marmaille, et paréos
Ma moto les dépasse,
les raille, dans une poudre d’or.
Que la nuit a sommeil !
Bientôt le matin fera rage,
Et t’oubliera dans un nuage,
Dans une peau, que je coucherai.
Sur mon beau virginal, le flétrissant comme des notes d’eau.
Bientôt le matin s’engage,
Comme moi dans ce virage
Où je m’endors
Cobra
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